lunes, 30 de agosto de 2010

Dardos y palabras

Qui veut, en vous servant, toutes vertus ensuivre.
Vous vivrez (croyez-moi) comme Laure en grandeur,
Au moins tant que vivront les plumes et le livre.

Estos son los últimos versos de un poema de Ronsard: "mientras vivan las plumas y el libro, Usted también vivirá".

Yo también quiero que viva -al menos mientras viva mi post- Fernando Lázaro Carreter. Comparto con él una de sus pasiones: el español. La otra -el fútbol- se la dejo a todos aquellos que son capaces de emocionarse con una buena jugada como yo me emociono con una frase bien construida.

Escribo desde la afición: estoy abierta a todo tipo de sugerencias y correcciones.

3 comentarios:

  1. Étrange post qui proclame une passion pour l'espagnol dans le cadre d'un hommage à des vers de Ronsard où l'espagnol ne sert que de moyen de traduction.

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  2. Je voulais juste expliquer pourquoi je me permets de faire des observations sur l'usage de la langue et les incorrections les plus fréquentes sans en être une spécialiste. Quand je lis "El dardo en la palabra" je sens vraiment que Lázaro Carreter me parle. C'est pourquoi j'ai pensé à Ronsard: à chaque fois que je lis un "dardo", Lázaro renaît comme renaît la femme du poème de Ronsard à chaque fois qu'on le lit.
    Est-ce que ça se comprend?

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  3. OK,"A malin (1), malin et demi (2)". Toi dans le rôle de (2.

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